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    Le trésor des Templiers
     


    L'ordre du Temple avait pour mission de "conserver" la Terre Sainte conquise en 1099, c'est un ordre religieux
    qui avait été consacré par le Concile de Troyes en 1128.
     

    Ces Templiers avaient fait voeu de pauvreté, de chasteté, d'obéissance, de protection des colons et des pèlerins.
     

    Ce qui les a pas trop gêné... de faire autre chose... parce que la réalité était toute autre !

    Ils avaient developpé une activité bancaire qu'ils ont conservé même après la perte du royaume de Jérusalem.
     
    En peu de temps cet ordre du Temple a réuni une fortune colossale, en terres et en bâtiments.
     
    On est arrivé à recenser deux mille commanderiesdeux millions d'hectares de terres cultivées et la moitié des maisons de Paris leur appartenaient !

    L'ordre du Temple était bien plus riche que le royaume de France....
    ce qui a déclenché la colère et la haine de Philippe le Bel.

     Il les a fait arrêter et emprisonner sous des accusations toutes plus fausses les unes que les autres !
     
    Les Templiers ont été jetés en prison et exécutés jusqu'au dernier en même temps que leur grand maître Jacques de Molay.


     
     
     
     
     
     
     
     
     
     

    Où est passée la fortune des Templiers ?

     
     
    Au moment de leur arrestation collective, les officiers royaux n'ont trouvé que quelques papiers sans importance.

    Où est passé l'argent manipulé par tous ces Templiers ?
     
    Est-il en sécurité, en France, dans un lieu secret ?
     
    Si secret que personne ne l'a trouvé ?
     
    Est-il sorti clandestinement du pays ?

    A Chinon, dans le domaine de Gisors où les Templiers étaient emprisonnés, les graffitis qu'ils ont laissés seraient peut-être des indications codées pour localiser ce fameux trésor ?



     

    Une rumeur a prétendu que la veille de l'arrestation de l'ordre, trois lourds chariots ont quitté le Temple de Paris, vers une destination connue de personne. (il faut toujours se méfier des rumeurs... elles ont la peau dure !)
     

    Un jour, durant la Seconde Guerre mondiale, un jardinier du château de Gisors a prétendu qu'il avait découvert une crypte secrète sous la forteresse, un endroit où se trouvaient des sarcophages et des coffres remplis de métaux précieux.
     
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    Mais ce n'est qu'en 1960,  qu'André Malraux a ordonné de faire des fouilles.

    Ils ont pris leur temps ! et ces fouilles n'ont rien donné !

    Par contre, elles ont sapé les fondations du château qui était à deux doigts de s'effondrer !

    Une consolidation des fondations a été faite et depuis,
    il est interdit de faire d'autres fouilles à Gisors !

    Là aussi, il faut rester logique et se demander
    si un tel trésor a vraiment existé ?

    En effet, chaque commanderie avait la monnaie nécessaire pour les affaires courantes.
     
     
    Mais tout l'argent qui rentrait était aussitôt investi
    dans l'achat de nouvelles terres ou de nouveaux bâtiments.

    Pourtant, ces coffres remplis de richesses continuent de torturer l'esprit des chasseurs de trésor et certains...
     
    peut-être plus téméraires, rêvent de prouver qu'une fortune dort sous nos pieds 
     
     
    http://www.lemiroirdutemps.com/article-35913040.html
     
     

     

     

     

    Il y a près de sept cents ans, un 19 mars 1314, le grand maître de l’ordre des Templiers, Jacques de Molay, brûlait vif sur un bûcher dressé par la justice royale. Rappel d’un événement où se mêlent des histoires de trésors et de malédictions…

     
     
    • Les années fastes
      Les années fastes

       

      L’origine de l’ordre des Templiers

    •  
      La création de l’ordre des Templiers remonte au début du XIIe siècle.

    • Au départ, en 1119, les templiers n’étaient rien d’autre qu’un petit groupe de neuf chevaliers désireux de défendre les routes de pèlerinage vers la Terre sainte.

    •  
      En 1128, le concile de Troyes en fait un ordre reconnu, avec des règles rédigées par saint Bernard associant les obligations des moines à celles des soldats. Chevaliers du Christ, les templiers ont pour mission officielle de défendre les lieux saints et ceux qui s’y rendent.

      Un ordre qui s’enrichit…On est alors en pleine période de croisades. Aussi, très vite, rois, princes, nobles et simples bourgeois donnent sans compter leur argent à l’ordre des Templiers pour assurer à leur place la protection de Jérusalem.

    • Des donations si nombreuses que les templiers deviennent en peu de temps l’un des ordres religieux les plus riches d’Europe, non seulement en argent, mais aussi en biens fonciers et en commanderies. Le double jeu de l’argent
      Cette richesse permet bien sûr la construction de forteresses puissantes tout le long de la route vers Jérusalem : à Gazat, à Saphiet près de la plaine de Galilée, à Damas, à Tibériade, à Chastel-Pèlerin au pied du Mont-Thabor, etc.

      Mais la sûreté de leurs commanderies et de leurs châteaux, ainsi que la présence des templiers dans la plupart des pays du monde d’Europe et d’Orient, multiplient les occasions de dépôt ou de transfert d’argent :

    • on confie désormais aux templiers l’argent qu’on n’ose garder chez soi ou on leur demande d’assurer des déplacements de fonds grâce à leur réseau, bien meilleur que celui des grandes banques italiennes. Bref, peu à peu, les chevaliers deviennent des banquiers.


       

     
    • Le déclin
      Le déclin

       

      Une réputation qui baisse au fil des siècles
       

    • Contrairement par exemple aux frères hospitaliers qui transforment l’argent collecté par les dons en hôpitaux pour les pauvres, les templiers finissent par faire du commerce de l’argent une activité à part entière.

    • En 1250, il faut que le sénéchal Jean de Joinville les menace d’une hache pour qu’ils acceptent d’avancer sur leurs coffres si bien remplis la somme nécessaire à la rançon du roi saint Louis, retenu prisonnier en Terre sainte.
       

    • Près de deux siècles après leur création, en 1291, la chute de Saint-Jean-d’Acre et la perte pour la chrétienté des terres d’Orient suppriment leur raison d’être. Ils ne sont plus, aux yeux du peuple, que des hommes d’argent. Les moqueries vont bon train.

    • En France, « boire comme un templier », c’est se saouler ; en Allemagne, « aller chez les templiers », c’est courir les prostituées…

       
    • La suppression de l’ordre : une idée qui monte

    • Depuis les années 1270 déjà, on parle de reverser les templiers dans un autre ordre.

    • En 1306, le pape Clément V revient sur le sujet et demande qu’on étudie une fusion avec les hospitaliers.
    • Jacques de Molay, alors grand maître de l’ordre du Temple, se défend avec mesquinerie et médiocrité, assurant que, s’il y a dans une région deux hôpitaux, chacun tenu par un ordre, la fusion en supprimera un (que fait-il des malades qui s’y trouvent ?), qu’il n’y aura plus qu’un responsable par commanderie et par région au lieu de deux (sous-entendu : il n’y aura aussi plus qu’un grand maître…). Bref, aucun argument recevable. 
    • Des dénonciations qui se multiplient

    • A la même époque, des templiers commencent à quitter leur ordre et des dénonciations se multiplient auprès du roi de France.
    • Elles font scandale : les templiers seraient hérétiques, idolâtres, renégats et sodomites !

    • Il faut dire que, avec le temps, la cérémonie confidentielle de réception d’un nouveau membre au sein de l’ordre avait tourné au bizutage.
      Aux hommes que leur foi avait poussé à devenir templier, on demandait de cracher trois fois sur la croix, ou de la fouler trois fois aux pieds, ou de renier trois fois leur religion (en souvenir d’un grand maître prisonnier des Sarrasins et qui avait été obligé d’accomplir ces gestes ou en souvenir du reniement de saint Pierre… On ne savait plus trop), puis on humiliait le nouvel arrivant à travers des scènes grotesques pouvant, de rares fois, aller jusqu’au viol.
      Des rites qui n’étaient donc plus ni cérémonieux, ni profonds et dont le sens s’était perdu, mais que la bêtise et l’inculture perpétuaient, voire déformaient et aggravaient.

       


       

     
    • Une chute inéluctable
      Une chute inéluctable

       

      L’arrestation des templiers

    •  
      Comme le pape n’agit pas suffisamment vite, Philippe le Bel décide de procéder à une arrestation massive des templiers.

    • Tout est organisé en quinze jours et, le 13 octobre 1307, en une seule journée, tous les membres de l’ordre sont jetés en prison, leurs biens inventoriés et mis sous séquestre.

      Torturés, les templiers avouent tous ce qu’on leur prête. Trente-six d’entre eux meurent dans les mains du bourreau, mais personne ne remet pour autant en cause les aveux de la procédure de justice médiévale, qu’on s’accorde alors à trouver tout à fait légitime.

    • Les aveux confirmant les dénonciations, sept ans de procédure suivent et personne ne prend la défense des templiers.

      Les condamnations à mort

    • On considère à cette époque qu’un péché avoué est à moitié pardonné, mais qu’il est en revanche impossible d’oublier la faute de celui qui, après avoir avoué, revient sur ses déclarations et retombe donc dans ses erreurs précédentes.

    • En 1311, se trouvent donc finalement libérés ceux qui n’avaient rien avoué depuis 1307 ou ceux qui avaient avoué et affirmé qu’ils regrettaient.
    • Les cinquante-quatre templiers qui avaient avoué puis s’étaient rétractés en disant qu’ils avaient menti sous la torture sont considérés comme des hérétiques impénitents et brûlés vifs. 
    • Quant à Jacques de Molay, qui avait avoué puis affirmé pendant sept ans qu’il ne parlerait plus qu’en présence du pape (pape qui refuse désormais de s’occuper de cette affaire), il a un ultime sursaut de courage.
    • Il affirme en public, devant un conseil royal dressé devant Notre-Dame le 19 mars 1314 pour lui lire sa condamnation à la prison, que l’ordre des templiers est innocent.

    • Il savait à quoi sa rétractation le menait : on dresse à la hâte un bûcher en bord de Seine, Jacques de Molay et un de ses
    • compagnons y meurent le soir même.

     

     

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    • Photographie du blog
    • http://www.eric-catherine.org/eric-catherine-photographe-en-normandie.html
    • La fameuse malédiction

    • Jacques de Molay aurait dit sur le bûcher :
    • « Dieu vengera notre mort ».
    • Une malédiction que la tradition populaire va enjoliver, la destinant au roi Philippe le Bel, maudit par le grand maître jusqu’à la treizième génération.
    • Et comme la treizième génération est celle de Louis XVI, ce serait bien la preuve, dit-on ensuite, que les templiers étaient innocents puisque Dieu s’en est mêlé !

       

     
    • Et le trésor des templiers ?
      Et le trésor des templiers ?

       

      Le fameux trésor des templiers fut tout bonnement reversé à l’ordre des hospitaliers à l’issue de la procédure judiciaire.

    • Mais la croyance populaire assure que les templiers auraient réussi à en dissimuler une partie avant leur arrestation et cela fait fantasmer les foules depuis des générations.

      Où aurait-il été caché ?

    • Le château de Gisors, qui appartenait aux templiers et se trouve près de Paris, est souvent cité comme l’un des lieux possibles.

    • Aussi, lorsque, en 1949, le jardinier du château prétend qu’il aurait aperçu en creusant sous le donjon une chapelle souterraine, les esprits s’échauffent.

      Les articles sur le sujet se multiplient, un livre sort sur

    • « Gisors et le mystère templier »,les chasseurs de trésors accourent, creusent sans autorisation un peu partout, y compris sous les fondations du château que cette activité met en péril…

      La municipalité doit finalement intervenir et couler des soubassements de béton tout autour du donjon.

    • Le trésor, s’il en existait un à cet endroit, se trouve définitivement muré…

       

     
    http://www.genealogie.com/chroniques/historique/histoire-et-mysteres-des-templiers-9431.html
     
     
     

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  • Le Trésor des Templiers en Normandie… -2ème partie-

     
    Arrêtés le 13 octobre 1307 sous les ordres de Philippe Le Bel, on ne retrouva aucune richesse dans les maisons du Temple…
     
    Le Trésor des Templiers aurait donc disparu juste avant l’arrestation des Chevaliers du Temple. Certains ayant été prévenus de l’attaque se seraient enfuis, dit-on, avec le Trésor à bord de trois chariots recouverts de paille et d’une cinquantaine de chevaux.
     
    Ce convoi aurait pris la direction du nord de la France pour embarquer sur des bateaux vers l’Angleterre où, là-bas, les Templiers n’étaient pas inquiétés comme en France.
     
    Sur le chemin de la fuite, la ville de Gisors!…
    C’est ainsi que ce mystère prendra naissance et fera couler beaucoup d’encre.
      
    Revenons à présent au 20ème siècle…
    Roger Lhomoy
      
    Tout commença en 1946 avec le gardien du Château Roger Lhomoy qui prétendit avoir découvert une chapelle à l’intérieur de la motte, dans laquelle se seraient
    trouvés 19 sarcophages, 12 statues et surtout 30 coffres contenant le fameux Trésor des Templiers.
     
    La galerie menant à cette chapelle fut jugée si dangereuse que la municipalité décida de la reboucher et somma Roger Lhomoy d’arrêter ses recherches.
     
    L’affaire en restera là… Puis en 1962, des travaux importants furent entamés suite à la publication du livre de Gérard de Sède "Les Templiers sont parmi nous".
     
    On creusa partout: dans le donjon, dans le cachot, jusque dans les caves. Sans succés! Tout le monde rentra bredouille.
    Alors peut-il rester des endroits encore inexplorés?
     
    Comment le savoir puisqu’aujourd’hui les fouilles sont interdites, les dernières ayant déstabilisé la motte féodale sur laquelle repose le Château.
     
    Il aura fallu effectuer des travaux fort coûteux pour le sauver de l’écroulement.
      
    Nombreux sont les visiteurs, comme je l’ai été le week-end dernier, qui s’attardent en espérant s’approcher du Trésor des Templiers et laissant une fois de plus l’imagination prendre le dessus.
      
    Les historiens sont certains que le Trésor n’existe pas; des chercheurs parallèles y voient l’existence d’un complot destiné à cacher un fabuleux secret!
     
     
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    Et vous qu’en pensez-vous?
     
    Le Trésor des Templiers, s’il existe, peut-il se trouver ici en
    Normandie dans la Forteresse de Gisors?
     
     
     
    SOURCES
    https://caroline1970.wordpress.com/2008/05/04/le-tresor-des-templiers-en-normandie-2eme-partie/

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  • Les principales possessions de l’Ordre de Saint-Lazare

    de Jérusalem au Moyen-âge

    Source : Comte Olivier CHEBROU de LESPINATS - www.saint-lazare.org

    En France 

    • Boigny (Loiret) : Siège de l’Ordre de Saint-Lazare après le retour des croisades. Cette maison avait des dépendances à Alménêches, Epoisses, Foret d’Arpus et Paris
    • Saint-Antoine de Grattemont (Seine Maritime). Cette maison avait des dépendances à L’Abergement, Blacqueville (rente foncière), Blangy, Bosc Hérisson (Terre), Brefmoutier, Bretteville (rente foncière), Carville (Terre), Cidetot (Terre), Coqueraumont, Croixmare (rente foncière), Eu, Fontelaye (Terre), Fuletot, Hétort, Mont des Ifs (Terre), Le Mesnil, Limesy (Terre), Panneville (Terre), Pont-Audemer, Rouen, Saint-Jouin, Saint-Paër (rente foncière), Surecrote, Valle.
    • La Lande d’Airou (Manche).
    • Montlioust (Orne). Cette maison avait des dépendances à Bursard, Caen, Êcouves (forêt), Essay, Mocquinot, Sous.
    • Fontenay le Comte (Vendée). Cette maison avait des dépendances à Mairevent, Pissot.
    • Rosson (Cantal).
    • Curzon (Vendée).
    • Conflans (Yvelines).
    • Mardié (Loiret).
    • Montrevault (Maine et Loire).
    • Pastorat (Aveyron).
    • Villaraye (Yvelines).
    • Aigrefeuille (Ain). Cette maison avait des dépendances à Curville, Marboz, Vonnas.
    • Bethisy (Oise) - Léproserie/maladrerie.
    • Beauvais (Somme)- Léproserie/maladrerie.
    • Gournay - Léproserie/maladrerie.
    • Moingt (42) - Léproserie/maladrerie.
    • Montfort - Léproserie/maladrerie.
    • Soissons - Léproserie/maladrerie.
    • Chapelle de Saint-Lazare (Paris) (Eglises (droit de patronage))
    • Chapelle d’Aigrefeuille (Bâgé le Chatel (Ain) : Pèlerinage populaire pour la guérison des enfants rachitiques ou souffrant d’handicaps de locomotion ou de langage
    • Maison-Dieu et prieuré de Saint-Augustin (Montmorillon)

     

    En Angleterre :

    • Burton. Cette maison avait des dépendances à Billesdon, Braceborough, Brentigby, Cold Neuton, Dalby, Galby, Hal, Harting, Haselbech, Heckinton, Kirkby Bellars, Linesthorp, Louseby, Melton Mowbray, Northampton, Pickwell, Saxby, Swinelond, Thorpe Arnold, Threckingham, Twyford.
    • Carlton (Lincilnshire).
    • Choseley (Norfolk). Cette maison avait des dépendances à Birston, Burgh, Byringham, Haneworth, Ryburgh Parva, Sodeye.
    • Harehope (Northumberland), Bewick, Brampton, Carleton, Clipe, Crawlawe, Ditchburn, Hygele, Langeton, Mitford, Newbigging, Tytelington, Warenford, Wependen.
    • Lokhowe (Derbyshire) : Préceptorie.
    • Londres (Middlesex).
    • Lincoln (Lincolnshire).
    • Pontrefact (Yorkshire).
    • Spondon (Derbyshire). Cette maison avait des dépendances à Borrowyash, Chaddesden.
    • Tilton (Leicestershire)
    • Louseby - Eglise (avec droit de patronage)
    • Galby - Eglise (avec droit de patronage)
    • Abbaye de Sainte-Marie des Grâces (Londres) - Eglise (sans droit de patronage)
    • Birston - Eglise (sans droit de patronage)
    • Braceborough - Eglise (sans droit de patronage)
    • Castleford - Eglise (sans droit de patronage)
    • Duddinghurst - Eglise (sans droit de patronage)
    • Hale - Eglise (sans droit de patronage)
    • Haselbech - Eglise (sans droit de patronage)
    • Heckinton - Eglise (sans droit de patronage)
    • Spondon - Eglise (sans droit de patronage)
    • Thereckingham - Eglise (sans droit de patronage)
    • Treckingham - Eglise (sans droit de patronage)
    • Cold Neuton - Moulin
    • Melton Mowbray - Moulin
    • Brentigny - Moulin

     

    En Italie :

    • Barletta (Région des Pouilles).
    • Alife (Campanie)
    • Ascoli (Pouilles)
    • Aversa (Campanie)
    • Bitonto (Pouilles)
    • Capoue (Campanie)
    • L’Aquila (Abruzzes)
    • Lecce (Pouilles)
    • Maddaloni (Campanie)
    • Messine (Sicile) - Maladrerie/Léproserie.
    • Plano Rossi (Basilicate)
    • Rutigliano (Pouilles)
    • Tarente (Pouilles)
    • Teano Campanie)
    • Troia (Pouilles)
    • Venafro (Molise)
    • Palerme (Sicile) - Maladrerie/Léproserie.
    • Palencia
    • Logrono
    • Couvent arménien de San Lazaro (Venise) - Eglise avec droit de patronage.
    • Santa Caterina (Sicile) - Eglise sans droit de patronage.
    • Foggia (Pouilles) - Eglise sans droit de patronage.
    • San Lorenzo in Carminiano (Pouilles) - Eglise sans droit de patronage.
    • Troia (Pouilles) - Eglise sans droit de patronage.
    • Naples - Hopital des Incurables

     

    Dans le Saint Empire Germanique :

    • Gotha (Thuringe). Cette maison avait des dépendances à Goldbach, Teutleben (Eglise).
    • Breitembach. Cette maison avait des dépendances à Horsmar(Eglise).
    • Wackenhaussen.
    • Sangerhaussen (Thuringe).
    • Braunsroda. Cette maison avait des dépendances à Bretla (Eglise), Heldrungen, Helmsdorf.
    • Meggersheim (Hesse). Cette maison avait des dépendances à Bretzenheim, Nierstein.
    • Schlatt (Bade-Wurtemberg).
    • Wackenhausen (Thuringe).

     

    En Suisse :

    • Gfänn (canton de Zurich). Cette maison avait des dépendances à Dübendorf, Greifensee, Hegnau, Hermikon, Isikon, Lupzig, Meiringen (Eglise), Nanikon, Seuzach, Steinmir, Tagelswangen, Wangen, Warikon, Werlikon, Zürich.
    • Seedorf (canton d’Uri). Cette maison avait des dépendances à Bauen, Hasle, Niedersteinmaur, Stuhlsazze.

     

    En Palestine

    • Jérusalem. Cette maison avait des dépendances à Santa Caterina
    • (Eglise de Sicile).
    • Saint-Jean d’Acre. Cette maison avait des dépendances à Castellum Regis (localité aujourd’hui disparue), le quartier de Montmusard dès 1240.

     

    A Antioche :

    • Jaffa.

     

    A Chypre :

    • Larnaca.

     

    En Hongrie :

    • Gran (district de Budapest). Cette maison avait des dépendances à Urs, Dorogh.

     

    En Espagne :

    • Madrid - Léproserie/Maladrerie.
    • Palencia.
    • Séville - Léproserie/Maladrerie.
    • Tolède.
    • Barcelone - Léproserie/Maladrerie.
    • Burgos - Léproserie/Maladrerie.
    • Compostelle - Léproserie/Maladrerie.
    • Cordoue - Léproserie/Maladrerie.
    • Cuenca - Léproserie/Maladrerie.
    • La Coruna - Léproserie/Maladrerie.
    • Léon - Léproserie/Maladrerie.
    • Pampelune - Léproserie/Maladrerie.
    • Valence - Léproserie/Maladrerie.
    • Vittoria - Léproserie/Maladrerie.

     

    Batailles où des chevaliers lépreux se sont illustrés :

    • Forbie (octobre 1244).
    • Bahr Al Saghir (8 février 1250).
    • Jaffa (entre mai 1252 et juin 1253).
    • Tannenberg (1410).
    • Lépante (1571).

     


    pour une bibliographie plus complète... Bibliographie 

    1. "Principes fondamentaux de la spiritualité de
    2. l’Ordre de Saint-Lazare"
      Révérend Père J. Mauzaize (O.M.C.)
    3. "L'institution chevaleresque de Saint-Lazare de Jérusalem à travers le monde du XIIe siècle à nos jours"
      Guy Coutant de Saisseval
    4. "L’Ordre de Saint-Lazare de Jérusalem et l’Ordre religieux des Carmes"
      Eques Hiérosolym itanus
    5. "Histoire militaire et hospitalière de l’Ordre de Saint-Lazare des origines à 1830"
      Philippe Jourdain
    6. "Les Chevaliers de Saint-Lazare de Jérusalem en Terre-Sainte au Moyen Age"
      Michel Billard et Guy Coutant de Saisseval
    7. "Les Chevaliers et Hospitaliers de Saint-Lazare de Jérusalem de 1830 à nos jours"
      Guy Coutant de Saisseval

     


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  • L'Ordre des Chevaliers de l'Hopital de Saint Jean de Jérusalem

    Les Chevaliers de l'Hopital

    Dans un but essentiellement évangélique, l'Ordre de l'Hôpital a été créé par Gérard avec quelques marchands d'Amalfi, dans le milieu du XIème siècle.

    Le premier grand maître et successeur de frère Gérard, Raymond du Puy (élu en1120), organise l'Ordre et instaure une règle, inspirée de celle de Saint-Augustin (1135).

    Les hospitaliers dérivent vite vers un ordre militaire à l'instar des Templiers, avec lesquels ils se disputent souvent l'issue des batailles et les conquêtes ...
    L'Ordre de l'Hopital
    L'Hôpital construit des châteaux en Terre Sainte : Margat, le Krak des Chevaliers, ...).

    Après la chute de Saint-Jean d'Acre (1291), l'Hôpital se replie sur Chypre, puis sur Rhodes.

    Appelés Chevaliers de Rhodes depuis 1309, puis Chevaliers de Malte depuis 1530, ils ont été les héritiers des biens Templiers (bulle papale du 2 Mai 1312), sauf ceux sur lesquels Philippe le Bel avait mis la main ...

    L'Hôpital va connaître une crise dans le milieu du XIVème siècle, principalement due au système économique qui régit les commanderies et à une crise religieuse. Il est alors menacé de se voir retirer les biens du Temple par le pape Innocent VI.

    La fin du Moyen-Âge transformera l'Hôpital comme une principauté chrétienne défendant l'île de Rhodes, bien que l'aristocratie lui confère un prestige important.

     

     

     


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  • L'organisation et la hiérarchie de l'Ordre du Temple

     

    L'organisation, le fonctionnement et la structure hiérarchique de l'Ordre sont relatés en détail dans la Règle initiale et dans les Retraits, articles ajoutés au fur et à mesure de l'existence de l'Ordre, dont beaucoup sont l'œuvre de 

    Bertrand de Blanchefort.

    Territorialement, l'Ordre du Temple était divisé en plusieurs provinces dont le nombre a fluctué au fil des ans. Généralement, la littérature prend en compte 21 provinces de l'Ordre:

    1. France, Poitou, Auvergne, Provence, Bourgogne
    2. Portugal, Castille, Aragon, Valence
    3. Sicile et les Pouilles, Rome, Toscane et Lombardie
    4. Angleterre, Allemagne, Hongrie, Pologne et Tchéquie
    5. Jerusalem, Tripoli, Antioche, Chypre, Petite Arménie

    La hiérarchie de l'Ordre se composait de :

     

    1. Le Maître : Le rôle du maître, ainsi que son pouvoir sont relativement restreints. Il est la figure de proue de l'Ordre, mais il ne peut rien faire seul.
    2. Il a un rôle de représentation et se contente de signer les documents qui lui sont soumis par le chapitre général. C'est au cours des réunions du chapitre général que le maître et les membres du chapitres décident de tout ce qui concerne l'Ordre. Toute décision doit être approuvée par l'ensemble du conseil.

    3. Il est élu par un conseil, composé de douze frères (8 chevaliers et 4 sergents) et d'un frère chapelain. Les membres de ce conseil sont désignés par l'ensemble des dignitaires et des commandeurs de Terre Sainte à la mort du précédent maître.

    4. Le Sénéchal :Deuxième personnage le plus important de l'Ordre, malgré que son rôle se joue dans l'ombre du Maître. Sa fonction essentielle est de le remplacer lorsque celui-ci s'absente.

    5. Le Maréchal du Couvent du Temple : Il est le chef militaire de l'Ordre. En campagne, même le maître de l'Ordre doit se plier aux décisions du Maréchal du Couvent. Il est aussi responsable de la garde du gonfanon baussant. Il veille aussi à ce que les frères de l'Ordre aient leur matériel de combat en bon état.

    6. Le Commandeur de la Terre de Jérusalem : Quatrième personnage en ordre d'importance dans l'Ordre, il en est le trésorier. C'est lui qui gère tout l'argent des commanderies d'Europe et qui s'occupe des fournitures.

    7. Le Commandeur de la Cité de Jérusalem : Il est aussi le frère hospitalier de l'Ordre. Il s'occupe donc des malades et des blessés, et en campagne, c'est à lui que revient la charge de faire garder la Vraie Croix.

    8. Les Commandeurs des Terres de Tripoli et d'Antioche : Ils sont les représentants du maître dans ces provinces. Ils ont les mêmes droits et prérogatives que ce dernier, lorsque celui-ci n'est pas présent physiquement dans leur province. Tout comme le maître, ils sont secondés par des chevaliers, comme le maréchal de la Terre d'Antioche par exemple... 

    9. Les Commandeurs des autres Provinces : Ils ont le même statut que les frères précédents, exception faite que leurs provinces ne sont pas des terres en "Guerre", ils n'ont donc pas de maréchaux pour les seconder.

    10. Le Frère Drapier : Il est le responsable d'une partie de la logistique de tous les frères de l'Ordre. C'est à lui qu'incombe le devoir de fournir vêtements, pièces de literie, chaussures,... à tous les frères de l'Ordre. C'est aussi lui qui prend les habits séculiers d'un nouveau frère et qui prépare la robe et le manteau pour la cérémonie de prise d'habit.

    11. Les Frères Chevaliers Commandeurs des Maisons : Ils étaient simplement responsables de leur maison, c'est-à-dire, commanderie, forteresse, casal,.... Ils devaient rendre compte en tout au Commandeur de la Terre ou de la Province.

    12. Le Commandeur des Chevaliers : Il y a plusieurs commandeurs des chevaliers. Ils sont en fait des lieutenants du Maréchal du Couvent. L'un d'entre eux, placé sous le commandement direct du Commandeur de la Cité de Jérusalem, commande aux chevaliers laïcs qui servent à terme dans l'Ordre

    13. Le Turcoplier : Il commandait aux turcoples (troupes indigènes), c'est à dire des habitants de Terre Sainte qui s'engageaient dans l'Ordre et qui servaient le plus souvent comme cavalerie légère et d'éclaireurs. Le Turcoplier commandait également les frères sergents lorsqu'on était en campagne.

    14. Le Sous-Maréchal : Comme son nom l'indique, il est sous le commandement du maréchal du Couvent. C'est lui qui garde le Gonfanon plié jusqu'au début de la bataille. A ce moment, c'est le Maréchal qui s'en empare et qui le brandit. En dehors des campagnes, il commande aux Frères de Métier. C'est aussi lui qui doit fournir en menu matériel les frères de l'Ordre.

    15. Le Gonfanonier : Il commande aux écuyers. En campagne, il garde un gonfanon de réserve roulé autour de sa lance.

    16. Le Commandeur de la Voûte d'Acre : C'est un trésorier particulier. C'est lui qui administre tous les biens de l'Ordre qui sont débarqués des bateaux à leur arrivée dans le port d'Acre.

    http://www.templiers.org/hierarchie.php

     


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